Archives Mensuelles: janvier 2017

Light guns & co – comment ça marche?

Je suis tombé il y a quelques jour sur cette vidéo très intéressante qui explique comment fonctionnent les light gun et light pen qu’on trouvait sur les anciennes consoles et micro. En passant, on apprend aussi pourquoi ils ne peuvent plus fonctionner sur les télé modernes.

Bon, forcément, c’est en anglais et c’est un poil long mais c’est expliqué très clairement et il y a des (vrais) sous titres. Bref, ça mérite vraiment un coup d’œil.

Gears of War 4 – au delà de la vague 50

Mercredi soir, après près de 3h de jeu, nous avons enfin fini la vague 50 du mode horde 3.0 de Gears of War 4!  \o/

Gears of War 4 - achievement vague 50

Nom d’un chien! (ne cherchez pas, c’est le nom du succès qu’on débloque quand on fini les 50 vagues de la horde…)

Après 371 vagues repoussées en tout, cette session était la bonne et nous avons pu faire les 50 vagues d’affilé en une seule session, et surtout venir à bout de la 50ème et dernière vague!

De mon côté, cela représente tout de même la mort de 3245 ennemis dans ce mode, et quelques heures de jeux, vous pouvez l’imaginer.

Après 74h passées sur Gears of War 4 (dont près de la moitié en mode horde), 1 500 000 fragments d’énergie ramassés et 1837 rubans gagnés, c’est aussi l’occasion de revenir sur ce jeu et sur ce que j’en pense.

Et bien c’est bon, très bon même.

SwarmakClairement, le point le plus faible du jeu est la campagne, dont la première partie est assez moyenne, et même plutôt chiante quand on l’a déjà faite une première fois. Il est loin le temps de Gears of War premier du nom pour lequel j’avais 3 sessions coop différentes en cours en même temps sur la campagne alors que je venais de la finir en solo!

Pour ce qui concerne la horde, je n’ai pas grand chose à lui reprocher, sauf que je trouve extrêmement frustrant d’avoir passé à la trappe toute la variété d’ennemis qui s’était accumulé au fil des épisodes. Les flamers, les corpsers, les chevaux, les chiens, Jean-Paul et j’en passe… Et la frustration est d’autant plus grande qu’une (petite) partie de ces ennemis sont présents dans le jeu puisqu’on en combat quelques uns au début de la campagne…

Gears of War 4 - fabricatorÀ part ça, le système de classe ne semble pas avoir les effets négatifs que je craignais (il n’en montre pas pour le moment en tout cas), et le système de capacités à base de cartes est plutôt bien pensé. Par ailleurs, le nouveau système de construction des défenses est plus souple et modulable que dans Gears of War 3 et avec un peu de pratique (et beaucoup d’argent), on arrive à faire des merveilles avec. Bref, on s’amuse bien et même si je ne serai pas contre une intégration du premier mode horde (celui de Gears of War 2) pour changer de temps en temps (et revenir aux sources), ce horde 3.0 est une vraie réussite.

Enfin, le mode de jeux en ligne « classique » est lui aussi très plaisant. En effet, si je n’ai pas encore poussé la porte des parties classées, le « social versus » fait passer de très bon moment quand les équipes sont équilibrées. Et si elles ne le sont pas, elles sont rapidement ajustées au fil des tours. Dans ce mode versus, il y a de quoi faire avec King of the hill, Escalation, Dodgeball, Team Deathmatch, Arms Race, Guardian, Warzone et Execution.

Pour ma part, j’aime beaucoup King of the hill qui n’est finalement qu’une variation du très bon mode « annex » du premier Gears of War. King of the hill était apparu dans Gears of War 2 aux côté d’annex et a finalement eu raison de son grand frère. Dommage annex, c’était quand même bien classe comme nom!

Gears of War 4 - horde mode

À part ça, Arms Race est bien sympathique (chaque équipe doit faire un nombre de kills précis avec une arme avant de passer à la suivante. On déroule toutes les armes), Dodgeball offre parfois des tensions assez exceptionnelles (quand on tue un adversaire, un de nos partenaires morts revient dans le jeu) et Guardian est assez plaisant lui aussi (un des membres de l’équipe est VIP. Tant qu’il est vivant, on respawn à l’infini)

Mais tout cela ne serait rien sans des maps aux petits oignons et là dessus, les gars de the coalition n’ont pas fait les choses à moitié. Les maps sont variées, bien pensées et agréables à jouer à la fois en versus et en horde. Du beau boulot! Elles nous feraient presque oublier les maps inoubliables de Gears 1 & 2 qu’on nous ressort depuis 10 ans! Presque hein! 😉

Sur ce, j’y retourne, j’ai encore du boulot. Ma classe principale est à peine au niveau 5 (sur 10), il me manque plein de cartes de capacités, j’en ai encore plus à monter en niveau, et on n’a fini le mode horde qu’en difficulté normale et sur une seule map! C’est dire s’il y a encore de quoi s’amuser un moment!

Gears of War - logo

[critique] Deadpool – la nuit des morts vivants & le retour du Deadpool-vivant

Cela fait quelques temps que j’ai reçu ce Deadpool – La nuit des morts vivants (genre 4 mois!) et comme le père Noël m’a apporté sa suite (Le retour du Deadpool-vivant), je me suis dit que c’était une bonne occasion pour vous en parler!

Deadpool - nuit des morts vivants

Et autant le dire tout de suite, je ne comprends pas bien pourquoi cet album est si bien noté. Parce qu’en gros, on lit un peu partout qu’il est génial, voire que c’est du pur génie. Alors forcément, on y va un peu les yeux fermés

L’histoire a pourtant du potentiel, et est suffisamment débile et référencée pour aller comme un gant à ce bon vieux Deadpool! Jugez plutôt :

Après une violente indigestion, Deadpool sort du coma et découvre que l’apocalypse a eu lieu ! Les zombies ont envahi le monde… et le mercenaire ne souhaite pas finir dans leurs estomacs.

Et on suit donc un Deadpool qui déambule dans les rues à essayer de comprendre ce qui a bien pu se passer et à savoir ce qu’il peut bien faire maintenant.

Deadpool - lonely Le problème, c’est qu’on n’a rien de plus que ça. Comme nous, Deadpool passe un peu là dedans en spectateur, et plutôt sage en plus! Typiquement le genre d’histoire sympathique mais qui ne laisse aucune trace… La bonne idée gâchée par un manque d’ambition, où l’histoire reste engluée dans son pitch de base et dans les références (parfois un peu poussives) obligatoires. On se contente de dérouler le fil, sans implication, sans enjeu, sans grand chose en fait… Et tout ça sans la folie légendaire de Mr Pool… Pourtant il y a de bonnes idées, et graphiquement, c’est très bon, avec un choix au niveau des couleurs tout simplement excellent! Mais ça ne suffit clairement pas. Dommage, dommage…

Peut être que je suis un peu dur avec cet album et qu’une partie de ma déception est due aux critiques dithyrambiques qu’on peut lire à son sujet. C’est probable, mais malgré tout, la déception reste et La nuit des morts vivants est un Deadpool passable de mon point de vue.

Mais dans ce cas, pourquoi avoir acheté la suite? Et bien, d’abord parce que c’est le père Noël qui l’a choisi, donc un peu de respect s’il vous plaît! Ensuite, parce qu’il faut avouer que le point de départ est intriguant :

Deadpool avait trouvé la solution pour enrayer l’épidémie zombie : tout zombie qui dévorait Deadpool se transformait en Deadpool ! Un remède radical qui va engendrer quelques problèmes.

Bon, ok, ça spoile un peu mais bon, la couverture et le titre sont assez clairs quand même!

Le retour du Deadpool-vivant

Et j’ai trouvé ce deuxième volume bien meilleur que le premier. Avec une histoire moins convenue et moins classique (ou prévisible) et surtout avec un Deadpool (beaucoup) plus à son aise, cet album est beaucoup plus plaisant à lire, quand finalement on ne faisait pas beaucoup plus que simplement parcourir le précédent.

Et comme graphiquement, ce Retour du Deadpool-vivant est du même tonneau que son grand frère (donc un très bon cru), je n’ai au final pas grand chose à lui reprocher à part qu’il est un peu court et que certains passages sont un peu expédiés.

Quoiqu’il en soit, sans être du très grand Deadpool, Le retour du Deadpool-vivant est plus que sympathique et m’a même fait oublier la déception qu’avait été son grand frère.