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[First look] Gears of War 5

Voilà. C’est la rentrée. Et c’est le retour. Et ça fait longtemps. Très longtemps.

Plein de raisons à tout cela, la première d’entre elles étant un cambriolage qui m’a laissé fort démuni ( :huhu: ) et qui m’a occupé un certain temps par la suite jusqu’à retrouver une situation à peu près normale…

Mais la vie, comme les sorties de jeux, continue… Et septembre est un mois particulièrement bien fourni à ce niveau puisqu’en plus de Gears of War 5 (que j’attendais un « tout petit peu »), il y a sur ma liste de course le remake de Zelda (The Legend of Zelda: Link’s Awakening) à sortir sur Switch la semaine prochaine (qui est sans doute l’un des deux meilleurs Zelda du monde entier, l’autre étant le Zelda 3 de la SuperNES), il faudra aussi compter sur un autre jeu Switch qui a pris son temps pour arriver : Dragon Quest XI S: Echoes of an Elusive Age – Definitive Edition. Comme toutes ces pépites se télescopent un peu les unes les autres, j’ai donc passé mon tour sur d’autres jeux très prometteurs sortant plus ou moins à la même période, Borderlands 3 étant le dernier exemple en date, et Astral Chain le premier, tout occupé que j’étais avec l’excellent (mais pas exempt de défaut pour autant) Marvel Ultimate Alliance 3 sur Switch (encore !)

Bref, tout ça pour dire que Gears of War 5 est sorti cette semaine et que j’ai sauté le pas joyeusement sur la version PC (ben oui, parce que la XBox One, ben, elle n’est plus là ! 😥 ) qui a le bon goût de ne peser que 60 Go ! Quand on se souvient de plus de 90 Go que faisait Gears of War 4 sur PC à sa sortie il y a 3 ans, ça laisse songeur ! Ce tour de passe-passe incroyable semble avoir été rendu possible en rendant optionnel le téléchargement des textures super mega HD. Un coup de génie dont seul un esprit des plus éclairés pouvait avoir l’idée ! (Non, je déconne, c’est du simple bon sens)

Quoiqu’il en soit, 60 Go, ça reste énorme pour une connexion ADSL en mousse comme la mienne, mais en appelant la 4G à la rescousse et en couplant ça à une période de fin de forfait, tout ça s’est goupillé parfaitement et en moins de 12h, c’était plié. Du coup, j’ai pu jouer à ce jeu 2 jours avant sa sortie. Incroyable, non ? D’habitude, quand je dois télécharger un jeu de cette taille, j’y joue plutôt au moins une semaine après la sortie !

Au final, le jeu tourne, c’est beau, c’est fluide, c’est sympa, c’est Gears quoi. La grosse nouveauté étant que le bouton pour tronçonner les gens a changé de place, je vous laisse imaginer à quel point on peut être perdu en prenant en main ce nouvel opus !

La campagne a l’air d’être moins chiante que celle de Gears of War 4 (ce qui, reconnaissons-le, n’est pas bien difficile) et elle pourrait presque être vraiment sympathique si The Coalition ne rêvait pas de faire un jeu à la Uncharted… Parce que franchement, l’acte 2 avec ses allers-retours et ses « missions secondaires »… Quelle purge ! Les phases de vrai gameplay ne sont pas mal du tout, les ennemis sont plus variés, les situations aussi, de même que les décors visités; mais le blabla, les allers-retours, les séquences de non jeu où on ne fait que marcher pour écouter ses bonshommes papoter, chercher un interrupteur dans le noir, ouvrir une porte… Je m’en passerai bien ! De ça et de la pénombre ! Parce que ok les gars, vous gérez grave sur les éclairages en temps réel, c’est super bien fait, on dirait la vraie vie, tout ça mais foutez une lampe sur le torse du personnage pour éclairer devant lui !!!

Bref, tout ça n’est pas génial et en plus cela nuit quand même fortement à la replay value du titre. Autant la campagne du 1 ou du 2, on pouvait la faire, et la refaire encore et encore en augmentant la difficulté, autant là, entre le temps que ça va prendre et les phases chiantes incompressibles, on va vite passer à autre chose ! Et je ne parle même pas du pauvre gars qui jouera Jack pendant la campagne. Oui, parce que la campagne de Gears of War 5 est jouable jusqu’à 3 en coopération, mais pas de chance pour le 3ème, il devra jouer le robot d’assistance Jack !

Mais bon, le vrai cœur du jeu, c’est le multi, et surtout la horde à qui on a donné un petit coup peinture. Le système pour obtenir des cartes a été revu, exit les lootbox, la gestion de « l’argent » in game a changé, la gestion des fortifications aussi… Pas mal de petites modifs ici ou là qui changent vraiment le jeu tout en restant en terrain connu.

Les classes aussi ont changé, chacune ayant maintenant son attaque ultime comme c’est la mode dans les jeux d’aujourd’hui. Bouclier, tir de mortier, invisibilité… Il y a du choix et il devrait y en avoir bientôt encore plus.

Tout cela est pour le moment bien sympathique et apporte un peu de fraicheur à ce mode de jeu (même si le bonheur ultime ce serait quand même de proposer la horde de Gears of War 2 a.k.a la horde de bonhomme !).

Les seuls vrais points noirs pour le moment, c’est d’une part la disparition de la myriade d’options qui permettaient de se configurer une horde hyper personnalisée (type d’ennemis, bonus & co) présentes dans Gears of War 4. Nul doute que cela reviendra petit à petit mais ça fait un gros retour en arrière quand on passe de l’un à l’autre. En passant on regrettera aussi la disparition de la tourelle manuelle qui semble avoir été purement supprimée de cette nouvelle horde…

D’autre part il y a le fait que chaque personnage ait sa classe propre. Ainsi, impossible de jouer avec la tête (et le corps) de Marcus Fenix si vous voulez être Scout. Il faudra accepter de jouer avec la tête de Kait. Même si vous avez envie de la claquer en permanence. Parce que Marcus, il est Tank lui. De même, il faudra choisir entre le peu charismatique J.D. et le détestable Faz si vous voulez être typé « offense ».

Là, c’est clairement une idée à la con, d’autant que même si on aime la classe associé à son héros fétiche, il est interdit de jouer 2 personnages identiques dans la horde. Donc si vous êtes deux à aimer les tanks et à kiffer la barbe de Marcus, il faudra être le plus rapide pour avoir le droit d’en prendre les commandes. Dommage, mille fois dommage. Voilà un point sur lequel The Coalition aurait bien fait de s’abstenir de rouler dans le même sens que tous les jeux qui cartonnent en ce moment. Espérons très fort que cela sera corrigé via un patch, même si, malheureusement, je n’y crois pas trop tant il s’agit d’un parti pris gameplay-istique…

L’autre mode multi, c’est le mode Escape qui fait ses débuts dans cet épisode. Sentant fort le Left 4 Dead, ce mode qui consiste à fuir un nid de Locusts après avoir armé une bombe sale réussit à s’affranchir de son modèle et à avoir sa propre personnalité. Les premières parties faites dans ce mode s’avèrent extrêmement prometteuses.

La tension, l’urgence, l’absence (juste comme il faut) de munitions, la présence du Friendly Fire… Tout se goupille extrêmement bien et cela donne lieu à des parties (assez courte : environ ½ heure) très plaisantes.

C’est la vraie bonne surprise de ce Gears of War 5 et finalement, la seule chose qui l’empêchera de fait de remplacer la horde dans le cœur de fans, c’est sa limitation à seulement 3 joueurs

Enfin, pour finir, il y a évidemment le mode multi « classique » auquel je n’ai pas encore touché et qui devrait assurer comme il l’a toujours fait. Apparemment, pas de classe ni d’attaque ultime ici, donc on devrait retrouver tout ce qui a toujours fait le succès du multi de Gears of War. King of the Hill, TDM, … ainsi qu’un nouveau mode Arcade censé être moins méchant avec les petits nouveaux !

Et c’est ici que je vais m’arrêter. Vous l’aurez compris, ce nouveau Gears of War remplit son contrat, et s’il n’est pas parfait, on s’y amuse, et c’est bien là l’essentiel. Et, chose assez rare pour le souligner, il est fini. Pas de patch day-one de plusieurs dizaines de Go à télécharger pour rendre le jeu vaguement fonctionnel. Pas de serveur bondé impossible à atteindre. Ça change et ça fait du bien ! Après, quant à savoir s’il saura nous occuper aussi longtemps que son grand frère, seul l’avenir nous le dira. En attendant, c’est l’heure de jouer!

P.S : Et pour vraiment terminer, un petit mot pour râler sur la façon dont est gérée la langue du jeu sur PC (j’imagine que sur Xbox One, c’est la même chose) : caler par défaut sur la langue de l’OS, sans aucun moyen de la changer dans les options ! Quelle honte ! D’autant que les fichiers sont présents et qu’il suffit de modifier une ligne dans un fichier de config pour profiter des voix (et de l’interface) en anglais !

En l’occurrence, il suffit de mettre « EN » à la fin de la ligne « PreferredLanguageCode= » qu’on trouve dans le fichier GameUserSettings.ini situé dans le répertoire AppData\Local\Gears5\Saved\Config\PC.

Ça donne donc :

PreferredLanguageCode=EN

Le pire c’est donc que c’est prévu dans la config ! Ça serait quand même sympa de mettre une option dans l’interface du jeu !

[First Look] Dead Cells

Après l’E3 de la tristesse, après les des jeux qui ont été des déceptions ou qui n’ont pas tenus leurs promesses (pèle-même Zelda Breath of the Wild, Super Mario Odyssey, Uncharted 4, God of War, Monster Hunter World pour ne citer que les plus gros), voici qu’est sorti cet été le formidable Dead Cells, prêt à sauver le monde des jeux vidéo! Rien que ça!

Dead Cells
Arrivé au milieu de mes vacances d’été, ce jeu est tout bonnement fantastique! Très enthousiaste à l’idée d’y jouer, j’avais peur d’en attendre trop et d’être au final un peu déçu par le jeu. Et bien pas du tout! Après un Nier Automata vraiment épatant, Dead Cells achève de me réconcilier avec les jeux vidéo modernes! Ouais, carrément!

Dead Cells - cover artDéveloppé par les bordelais de Motion Twin, Dead Cells est un rogue like (ou plutôt un rogue lite comme on doit dire maintenant) qui combine tout un tas de traits propres à différents genres de jeux, en premier lieu la plateforme et l’action-aventure. Et c’est vrai que Dead Cells pioche un peu partout, de Megaman à Dark Souls en passant par Metroid. Mais ce qui est le plus important, c’est que la sauce prend très bien et, pour ne rien gâcher, la direction artistique et la réalisation sont au top!

Disponible en accès anticipé sur PC depuis le 10 mai 2017, Dead Cells est sorti le 7 août 2018 sur toutes les consoles actuelles (PS4, XBox One et Switch) et a même eu droit à une version physique un peu plus tard ce même mois d’août. C’est évidemment cette version que j’ai choisie (car le démat’ c’est le mal ce n’est pas ma tasse de thé). Et si je suis sûr que le jeu est très bon sur PS4 ou XBox One, je dois dire que pour ce qui me concerne, c’est LE jeu qui transcende le concept de la switch. Parce qu’avant lui, j’avoue qu je n’avais quasiment jamais joué à la Switch ailleurs que sur la télé. Mais avec Dead Cells, c’est différent. Un trou de 10 minutes dans mon planning et hop, je chope la console, j’y joue sur un coin de table et je la repose sur son socle où ma partie attendra mon retour bien sagement (bon, ok, parfois, j’y reste plus que 10 minutes!). Car, contrairement à beaucoup de jeux modernes, en 10 minutes dans Dead Cells, on a le temps de faire des choses. On a le temps de s’amuser. On a le temps de jouer, tout simplement. Et ça c’est vraiment agréable. Pas besoin de se taper des logos à rallonges avant de commencer la partie. Pas besoin de se balader dans un hub pour lancer la partie. Pas besoin de faire 20 bornes à pieds dans les champs pour trouver un donjon. De la simplicité. Du bonheur quoi. Ce qui n’empêche pas pour autant les parties complètes d’être beaucoup (beaucoup) plus longues!

dead CellsBref, j’ai plein de choses à dire sur ce jeu et il faudra que je trouve du temps pour vous expliquer tout le bien que j’en pense plus en détails. En attendant, tout ce que vous avez besoin de savoir, c’est que ce jeu est exceptionnel. On prend vraiment du plaisir à déambuler dans les différents lieux de cette prison, à ferrailler contre ces ennemis divers et variés, à débloquer des armes toutes plus folles les unes que les autres et à se rapprocher de la sortie. Oui, on peste parfois contre un boss trop méchant ou une nuée d’ennemis trop excités, et plus souvent contre nous-mêmes pour avoir été trop gourmand. Mais on kiffe. On kiffe en mode portable, on kiffe en mode dock, on kiffe partout (sauf peut-être dans le jardin vu comme l’écran de la Switch est illisible quand il y a du soleil!!!). Une des meilleures preuve de tout ça, c’est que malgré des vacances très chargées (surtout à base de travaux et de destruction de cheminée), et un arrivage tardif du jeu, j’ai déjà passé plus de 30 heures dessus! Car comme Rogue Legacy en son temps, Dead Cells est un jeu particulièrement addictif. Encore un peu et ce sera le jeu Switch sur lequel j’aurai le plus d’heures de jeu!

Allez, sur ce j’arrête ici. Bonne reprise à tous 🙂

[First look] 10 ans de Gears of War!

Ça fait un bail que je n’ai rien écrit ici. Et ce n’est pas faute d’avoir des choses à dire! Mais je suis à la bourre dans plein de domaines et je n’ai pas le temps de poster grand chose…

Quoiqu’il en soit, aujourd’hui c’est le 10ème anniversaire de Gears of War, une série de jeux que j’affectionne tout particulièrement (et ce n’est rien de le dire!). D’ailleurs en passant, c’est là où on voit que la vie est mal faite car si j’ai déjà parlé de Gears of War et de ses suites sur ce blog, aucun d’eux n’a eu le droit à une review ou même un first look! Quelle injustice tout de même!

Gears of War - logo

Gears of War 4, sorti récemment aura droit a quelques DLC dédiés à cet anniversaire composés essentiellement de skins (armes, bonshommes…) qui ne changeront pas grand chose au jeu lui même (rien en fait). Mais bon le jeu est déjà très bon, voire excellent. Car oui, j’ai acheté ce jeu il y a quelques semaines et enfin, enfin, je retrouve le plaisir de jouer à la console (mais sur PC du coup). Après quelques errements tous plus chiants les uns que les autres (The division, je pense à toi!), quel bonheur de pouvoir à nouveau tronçonner des méchants pas beaux, coller des grenades et vider des chargeurs dans tous les sens!

Gears of War 4 - bad guy

Un des sus-dits méchants pas beaux

Pourquoi n’y a-t-il pas eu un bel arrivage pour ce jeu tant attendu? Et bien tout simplement car rien n’est arrivé. C’est la magie des jeux modernes, parfois, il n’y a pas de version physique… Et c’est le cas de Gears of War 4 sur PC 😥

Bon, en même comme les 3/4 du temps sur PC, une version boîte ne contient même pas le jeu mais seulement un code pour le télécharger, ça ne change pas grand chose…

Mais cela n’a pas pour autant empêché ce dernier de coûter cher, très cher. En France à sa sortie, ce jeu coûtait la bagatelle de 70€ sur PC en dématérialisé quand on le trouvait un peu partout à 49 voire 45€ en version physique sur console! Ah, la légende des jeux moins cher sur PC en prend un sacré coup! Une vraie honte tout ça!

Alors je sais ce que vous vous dîtes, si c’est si honteux, pourquoi avoir acheté ce jeu? Et vous avez bien raison… Mais ça faisait tellement longtemps que j’attendais un jeu de ce genre et de cette trempe que je ne le regrette même pas! Car oui, Gears of War 4 tient ses promesses et prend dignement la relève de ses prédécesseurs.

Il n’est pas sans défaut, loin de là, à commencer par une campagne qui manque de panache et peine à démarrer, et la disparation de la coop à 4 pour cette dernière est une vraie régression. Où encore l’obligation de passer son OS en anglais pour avoir le droit à la V.O. (corrigé depuis la dernière MAJ). Et je ne parle même pas du fait que le jeu pèse plus de 73 Go!!!

La palme revenant sans conteste au fait que le jeu refuse de se lancer si Windows Update ne tourne pas. Et quand on a une connexion en mousse comme chez moi, on ne permet pas à Windows Update de s’amuser en tâche de fond!

Les nouveaux personnages qu’on dirige manquent aussi méchamment de charisme et on ne peut que regretter que Marcus ou Dom ne soit pas jouables quand ils apparaissent dans la campagne tant ils éclaboussent les petits jeunes de leur classe (surtout Marcus). Espérons qu’ils finissent par faire leur apparition dans certains modes de jeu, et pas sous la forme d’un DLC hors de prix!

Gears of War 4

Mais le multi tient la route et promet de longues, très longues de tueries en ligne entre amis dans tout un tas de mode divers et variés. Et évidemment, au milieu de tout ça, on retrouve un mode Horde appelé cette fois 3.0 qui nous revient en très grande forme avec un niveau qui pique bien comme il faut. Et pour ma plus grande joie, le système de classes mis en place n’est pas horriblement frustrant ou pénible (je n’aime pas les systèmes de classes dans ce genre de jeux). Le casque vissé sur la tête, manette en main, on prend son pied et c’est là le plus important, au delà de toutes autres considérations. Bref, c’est que du bonheur et il était plus que temps!

Alors bon 10ème anniversaire à Gears of War, en espérant que ce soit reparti pour longtemps!

[First look] Transformers Devastation

Ces temps-ci j’ai du mal à trouver des jeux qui m’emballent vraiment (voir ici) et un des rares à me faire de l’œil ces dernières semaines était Transformers Devastation. Et puis il a été soldé à un peu plus de 15€ sur Green Man Gaming…

Transformers Devastation - Cover

Transformers Devastation est développé par les petits gars de chez Platinium Games à qui l’on doit notamment les excellents Bayonnetta et Vanquish. D’ailleurs on retrouve bien dans Transformers Devastation la parenté avec ces deux titres au niveau du gameplay (enfin surtout Bayonnetta).

Transformers Devastation - Optimus Prime

Transformers Devastation - BumblebeeCe qui est assez génial dans ce Transformers Devastation, c’est qu’on joue au dessin animé des années 80. Ca, c’est vraiment un kiff pour tous les vieux cons gens qui ont connu ces périodes où les Autobots et autres Decepticons avaient vraiment la classe! Je parle bien évidemment de l’enveloppe graphique du jeu, qui affiche un cell shading de toute beauté (et un design à tomber) mais également au niveau de l’histoire qui est remplie à craquer de tous les clichés et poncifs qu’on trouvait dans les épisodes de la série de l’époque. Les méchants parlent trop, les gentils prennent des poses pour sauver la veuve et l’orphelin, les plans sont toujours abracadabrantesques, et le tout est bourré de « hahaha, je dois partir mais la prochaine fois je t’aurai!!! ». Bref, ça a le goût, l’odeur et bien plus encore des vrais Transformers 🙂Transformers Devastation Grimlock

Et quand je dis bien plus encore, je pense notamment à la bande sonore. Car en plus d’être plutôt agréable à écouter, elle nous gratifie à chaque transformation de ce son si caractéristique (et magique) entendu un million de fois à la télé. C’est limite si ça vaut le coup d’y jouer juste pour ça! C’est vraiment du bonheur d’appuyer sur un bouton et de voir Optimus Prime (ou un autre) se transformer en entendant ce doux bruit.

Bon, ok, j’en fais des tonnes mais l’idée c’est que je suis comme un gamin devant ce jeu 🙂 Et si c’est le cas, c’est aussi parce que le gameplay est solide. C’est vrai qu’il arrive par moment que ce soit un peu fouillis, notamment contre des ennemis de (très) grande taille ou parfois pour voir arriver les coups (et donc les esquiver). Mais pas au point de gâcher le plaisir. Surtout que le système combo intégrant la transformation en véhicule pour éclater ses adversaires est vraiment bien pensé. C’est bien simple, ce jeu, c’est le jeu auquel on n’aurait jamais osé rêvé quand on était gamin! En plus la variété est au rendez-vous avec des phases de tir et de conduite (c’est pas Gran Turismo hein!) particulièrement bien intégré à l’ensemble du jeu. Dans le désordre, on court, on saute, on se transforme, on roule, on tape, on tire, on fonce à toute berzingue et on recommence. Ça ne s’arrête jamais et c’est vraiment plaisant. Je suis un peu moins convaincu par le système d’upgrade des armes (qui demande surement un peu de temps pour en comprendre toutes les subtilités) mais il a le mérite d’exister et de permettre de personnaliser ses personnages comme on le souhaite. Et comme le casting, bien que réduit, est plus que sympathique, tout le monde devrait trouver son bonheur.

Transformers - Transformation

Finalement, le seul reproche que j’ai à faire à ce jeu est le même que celui que je fais à tous les (très) bons jeux de Platinium Games : il n’y a pas de mode coop! Comme Bayonetta et surtout Vanquish, Transformers Devastation semble (par moment) fait pour éclater du Decepticon (et des Insecticons ou des Constructicons) à plusieurs. Et comme d’habitude, cette possibilité est inexistante. Ça ne suffit pas à me faire regretter cet achat mais je rêve que Platinium se penche sérieusement sur l’intégration de la coop dans ses jeux. Et dans qu’à faire dans un bon jeu, pas dans The Legend of Korra! ^^

Voilà, ici se termine ce First look sur Transformers Devastation. Ce qu’il faut en retenir, c’est que ce jeu est génial et que pour ma part, j’ai eu du mal à lâcher la manette pour aller me coucher lors de ma première session!

Et comme une petite vidéo donnera une meilleure idée de tout ça, je vous propose celle qu’ont fait James et Mike récemment :

[First Look] Rogue Legacy – un rien addictif

Il y a quelques jours j’ai acheté Rogue Legacy sur PC au détour d’une promotion et jusqu’à maintenant je n’avais pas eu le temps d’y jouer…

Rogue Legacy - Title

Mais hier soir, après quelques parties d’autres choses, alors que tout le monde allait se coucher, je me suis dit que j’allais faire une petite partie, histoire de l’essayer

Quelle erreur! Monumentale erreur comme dirait Jack Slater! Car il se trouve que Rogue Legacy est un jeu incroyablement addictif! Addictif à un niveau rare! Et pourtant, on passe son temps à mourir (et ce n’est pas toujours très glorieux!). Et contrairement à un Die & Retry (ouais, bon ok, un trial and error), ici, on ne réessaie pas car à chaque partie, le jeu est différent puisque généré aléatoirement. Mais qu’importe, le gameplay aux petits oignons, l’humour, le style et la réalisation au poil font que les parties s’enchaînent, encore et encore et du coup, j’ai fini par me coucher à… 4h37 du matin!!! :O Et encore, j’ai arrêté de jouer parce que je suis quelqu’un de raisonnable (sinon c’était un coup à ne pas se coucher du tout!)

Rogue Legacy - fight

Bon, après, je ne vous cache pas que le réveil a donc été assez rude ce matin… Mais maintenant tout va bien et je suis prêt à y replonger! Mais ça devra attendre car avant ça, il va falloir bosser un peu quand même 😛

Bref, bien qu’étant encore novice dans l’art de survivre aux innombrables pièges dont ce jeu est truffé, je vous conseille vivement de tenter l’aventure. Mais soyez conscient qu’il sera difficile (et c’est rien de le dire) d’en décrocher!

Rogue Legacy - Big

[First look] Castlevania : Lords of Shadow

Ce First Look est un peu spécial puisqu’il s’agit du deuxième First Look consacré à Castlevania : Lords of Shadow. Mais cette fois-ci, il est basé sur le jeu et plus seulement sur la démo.

Castlevania - Lords of Shadow

J’ai acheté Castlevania : Lords of Shadow sur Steam il y a peu de temps au détour d’une promotion, le faisant ainsi enfin sortir de ma wishlist dans laquelle il était entré depuis bien longtemps maintenant.

Comme dit précédemment, j’avais essayé à l’époque la démo sur XBox 360 et ça avait l’air sympathique. Pas forcément hyper original, mais sympathique. Et puis on a pu lire des tas de bonnes choses un peu partout sur ce jeu, entre deux comparaisons inévitables avec God of War.

Et ce week end j’ai commencé le jeu, assez confiant.

Castlevania - Lords of Shadow

Et honnêtement, pour le moment, je m’emmerde pas mal. Arrivé au milieu du deuxième chapitre, je suis abasourdi de voir à quel point ce jeu est vide jusque là! Il n’y a quasiment que des couloirs vides débouchant, de temps à autre sur une aire un peu plus large remplie de quelques ennemis (quand même!). Bref, la comparaison avec un God of War fait très très mal de mon point de vue!

Par ailleurs, bien qu’essentiellement composé de couloirs (vides rappelons le), il est parfois assez difficile de trouver son chemin dans le jeu. Pas au point de s’y perdre mais on a souvent du mal à savoir où aller avec certitude, quand on n’a pas tout simplement des difficultés à voir les chemins possibles. Il faut dire qu’on n’est pas aidé par les angles de caméra, ce qui est assez rare dans un jeu où les caméras sont fixes! On remarque d’ailleurs au passage que la démo, qui est ni plus ni moins que le tout début du jeu, n’est pas du tout représentative du jeu dans son ensemble. Caméra mobile, multitude d’ennemis, boss, action non stop… Tout ça disparaît dès qu’on a fini l’escapade à cheval qui clôturait la démo!

Reste que le jeu n’est pas une merde pour autant. Mais c’est clairement une déception. J’ai vraiment du mal à comprendre l’accueil qu’il a reçu. Espérons que dans la suite, le jeu se secoue un peu et qu’il tienne un peu plus ses promesses!

Castlevania - Lords of Shadow

[First look] La Playstation 4 arrive

Sony PS4 & co

Et elle arrive bientôt même puisque sa sortie est prévue dans nos contrées le 29 novembre de cette année. Et comme elle arrive bientôt, on voit logiquement des bornes de démos pousser comme des champignons un peu partout dans les magasins. Enfin, pas tant partout que ça mais c’est le cas dans le carrefour à côté de mon boulot. D’ailleurs, ce n’est pas du tout le cas des bornes de démos XBox One ce qui me laisse un peu perplexe sur la stratégie de communication de Microsoft pour sa nouvelle console…

Bref, j’ai été poser les mains sur la PS4 entre midi et deux pour voir un peu ce que ça donne cette histoire…

Et ça donne un truc particulièrement inattendu. Et très bon! Je ne parle pas des jeux qui étaient disponibles puisqu’il n’y avait rien de très intéressant : Call of Duty Ghost et Knack. Deux jeux qui ne m’intéressent pas et qui ne sont pas très intéressants tout court.

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